Un sol vivant où le troc de savoirs côtoie les trocs de graines et d’autres matières concrètes.

 

Larret est un lieu de vie collective, de création et d’accueil où se développent des projets autour du geste et du mouvement dansé dans leur dimension écologique. Un lieu éco-somatique pour ceux qui y habitent et ceux qui viennent, danseurs, chercheurs, philosophes, artisans, curieux…

Larret en mouvements 

En juin 2020, un chantier participatif a vu le jour au Lieu-dit Larret, dans le Périgord Vert, sous l’impulsion d’un trio de danseur·euses et de chercheurs (A.Bachrach, M.Gaudeau. D.Walter). Il s’agissait de transformer une vieille grange en studio de danse, un grenier en dortoir, et une prairie en forêt-jardin. Autour de ce chantier, s’est construit, depuis neuf mois, un refuge pour des pratiques en voie de disparition qui, aujourd’hui, rêve de continuer à arrêter (décroître ? défaire ? ralentir ? danser ?).

 

 

L’association Larret en Mouvements a co-élaboré un lieu de vie collective, de création et d’accueil pour ceux qui y viennent: danseurs, chercheurs, philosophes, artisans, curieux. Ses activités s’articulent autour du geste et du mouvement : la permaculture rencontre la technique Alexander, l’improvisation rencontre la menuiserie, le bâtiment rencontre le travail du corps. Larret se définit comme un refuge éco-somatique : un lieu où l’environnement humain et autre-qu’humain (écologie) rencontre le corps vivant-vécu (somatique), un refuge pour accueillir des créatures diverses, qui dansent, qui pratiquent de la recherche, qui écrivent, qui font à manger, qui travaillent le bois,  la terre… 

 

Actuellement 7 personnes ont investi Larret comme résidents permanents. Ont poussé depuis juillet : un sol vivant, des jams régulières, 2 toilettes sèches, 5 bacs à compost, un studio d’hiver, une serre géodésique, un sauna, un atelier de construction, des essais de phyto-épuration, des soirées pizza autour du four en terre, plusieurs accueils de séminaires et de stages.

 

 

 

Actualités

Nous tenions à remercier l’association « Science Nomade » pour son soutien financier, ainsi que tous les adhérents qui d’une façon ou d’une autre ont contribué à la construction du studio d’hiver indipensable aux résidences de recherche à venir.